L’incidence des carcinomes épidermoïdes du canal anal est en augmentation, liée à la fréquence des infections par HPV. Le plus souvent diagnostiqués à un stade localisé, leur traitement repose sur la chimioradiothérapie. Malgré sa bonne efficacité, environ 20 % des patients vont présenter une rechute [1]. Dans ce contexte, un biomarqueur permettant de détecter précocement une rechute pourrait être utile.